
Depuis plus de deux ans, « aucun enfant porteur du VIH n’est né dans cet hôpital », affirme Henriette Toto, infirmière major de l’hôpital de district d’Efoulan, un quartier de Yaoundé, la capitale du Cameroun. « On a obtenu ce r&ea
Depuis plus de deux ans, « aucun enfant porteur du VIH n’est né dans cet hôpital », affirme Henriette Toto, infirmière major de l’hôpital de district d’Efoulan, un quartier de Yaoundé, la capitale du Cameroun. « On a obtenu ce r&ea